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Posted: Aug. 04 2006,12:54 by David from INTERNATIONAL - Fundacion Cultura de Paz
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(may be quoted, see below)
Fédération Sportive et Gymnique du Travail Emmanuelle Oulaldj, emmanuelle.oulaldj@fsgt.org Yves Renoux, yves.renoux@fsgt.org information obtained by interview
[see below for rough English translation]
1.
a) Si vous disposiez de fonds, quelles seraient les activités de la
jeunesse que souhaiterait organiser votre organisation dans le domaine
d'une culture de la paix ?
Nous avons déjà des projets qui font
partie de la lutte contre l'exclusion en France, Palestine, Algérie,
Italie, Rwanda, Afrique du Sud, Brésil, etc., etc. dans lesquels des
activités sportives, scientifiques et culturelles mettent en forme le
message de la culture de la paix. Même des partenaires en Israël
et Palestine jouent ensemble en Chypre évitant la zone de guerre entre
leurs pays. L'une des actions est le "football fraternité" - un
apprentissage de tolérance et compréhension mutuelle à travers le
sport. Tout le monde sont les joueurs, les acteurs, et personne
n'est que spectateur. L'important, c'est que ces processus
deviennent durables et pas seulement ponctuelles.
Une nouvelle
direction que nous envisageons, c'est un appel aux ONGs de faire des
documentations des initiatives qui sont menées dans ces différents
pays. On envisage des vidéo, internet, documents multimédia,
formant une banque des expériences des jeunes, basée sur leur
expérience pratiques sur le terrain. Il faut valoriser et rendre
visible ce qui existe déjà.
2. a) b) Quelles activités de la
jeunesse proposeriez vous que les Nations Unies pourraient entreprendre
pour promouvoir une culture de la paix ?
Reconnaitre et valoriser des actions des jeunes.
Nos
expériences en Algérie montre que les jeunes qui sont reconnus et
soutenus dans leur action pour la paix sont plus motivées, et leurs
actions sont plus durables. Mais il faut souligner la nécessité
de pratique, pas seulement théorie. Bien sûr que la théorie est
nécessaires, mais les jeunes n'intéressent pas dans la théorie sans
pratique.
3. Quelle approche proposeriez-vous pour
assurer la bonne gouvernance dans la gestion des fonds volontaires des
Nations Unies pour la jeunesse, relatifs à la culture de la paix?
L'ONU
et L'UNESCO sans doute ont l'expérience nécessaire. On suppose
qu'ils peuvent donner la responsabilité aux des gens de haute
réputation. En même temps il faut que ceux qui ont l'expérience
sur le terrain soient impliquées pour assurer que les fonds ne soient
pas mangés par quelques organisations.
4. Comment pourrions-nous
atteindre des jeunes non encore impliqués dans des activités liées à la
culture de la paix, et les motiver ?
Nous avons eu une bonne
expérience en France avec "la caravane où tout le monde jouent".
Le principe était comme un cirque, mais avec une différence
importante, qu'il est suit par un événement qui implique toute la
communauté. Aussi, la caravane engage des jeunes des plusieurs
villes, par exemple, Paris, Marseille, Lyon, Lille, qui suivent la
course de la caravane partageant l'expérience de chaque ville avec des
autres. On peut imaginer, si les fonds soient disponibles, des
telles caravanes en Afrique, par exemple.
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From: "FSGT - Emmanuelle Oulaldj" To: Sent: Thu, 3 Aug 2006 12:48:29 +0200 Subject: Re: l'inverview
Dear Davis Adams,
Il me semble que vous n'avez pas mis le bon document en pièce jointe, car il ne fait pas état des propositions que nous avons formulé.
Vous pouvez citer nos noms, sans problème.
Cordialement.
Emmanuelle OULALDJ
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1) If funds were available, what youth activities related to a CoP would your organization like to do?
We
have already projects which form part of the fight against exclusion in
France, Palestine, Algérie, Italy, Rwanda, South Africa, Brésil, etc,
etc in which through sports activities, scientific and cultural actions
promote the message of the culture of peace. Even partners in Israel
and Palestine play together in Cyprus avoiding the zone of war between
their countries. One of the actions is "football fraternity" - a
training of tolerance and mutual comprehension through the sport.
Everyone is a player and actor, and nobody is only a spectator. The
important thing, it is that these processes become durable and not only
temporary.
A new direction that we are considering is to call
on NGOs to make documentations of the initiatives which are carried out
in these various countries. One have in mind videos, Internet,
multi-media documents to form a bank of the experiencess of young
people, based on their practical experience on the ground. It is
necessary to develop and make visible what already exists.
2) What non-financial support do you need to do these activities?
Recognition to actions of young people so that they feel valued.
Our
experience in Algeria shows that the young people who are recognized
and supported in their action for peace are motivated, and their
actions are more durable. But it is necessary to underline the need for
practice, not only theory. Of course that the theory is necessary, but
the young people do not interest in the theory without practice.
3. To ensure the best possible benefit of a UN Voluntary Fund for youth and CoP, how should it be managed/administered?
No
doubt the United Nations and UNESCO have the needed experience.
One assumes that they can give the responsibility to people with
very high reputation. At the same time it is important that those
with experience "on the ground" are involved to make sure that the
funds are not "eaten up" by a few organizations.
4. How can youth not yet involved in CoP activities be reached and motivated?
We
have had good experience in France with the "Caravan where everyone
plays". The principle was like that of a circus, but with an
important difference that there are followup events that involve the
entire community. The caravan engages youth from several cities,
for example, Paris, Marseille, Lyon, Lille, who follow the course of
the caravan and share the experience from each city with the other.
One can imagine, if the funds were available to have such
caravans in Africa, for example.
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